S’les vacances

appel de mon employeur qui va me dire si je travillerai pour lui ou pas pour Juillet et Aout dans le centre commercial de Caluire à côté de Lyon.
La Japan Expo c’est dans 4 jours, wéééé, mais si je bosse dans le centre commercial j’y serai pas du tout, positivons, ça me fera économiser dupognon, et si je veux un nouveau pécé + écran va falloir économiser \o/

Bon, et question métaphysique du jour:
partout, lorsqu’il s’agit de lecture de romans, de bande dessinée, d’histoires illustrées, de dessins animés, de films, on parle d’identification.
Or voilà, l’autre jour j’étais bien content de tomber sur un post du blog de boulet où il raconte que lui non plus n’avait jamais imaginé que dans les histoires qu’il lisait il se prenait pour un ou des personnages dont il voyait l’histoire se dérouler.
J’ai toujours su mettre une distance entre ce que je vois à la télé, ce que je lis dans des livres, dans des BD, dans ce que je dessine, et le monde réel.
Jamais je ne me suis imaginé être à la place d’un personnage fictif.
Hier je parlais de ça avec ma chérie et elle m’avait dit que elle, au contraire, avait toujours imaginé qu’elle était (ou qu’elle pouvait être) le personnage qu’elle voyait.

Et vous lecteurs de blague, où en êtes vous dans l’identification?

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