Débarquement de Dieppe v.2009




Au début, il n’y avait personnnnnnne.

Et puis, à 11h 51 débarquent les cars de gens qui ont du grade et des instruments de perCUssion.





Et puisque Coco m’a dit que j’étais chauvin (parce qu’elle trouve que la vie en France est « invivable », et que je lui ai rappelé qu’elle était bien vivante + en France, donc qu’elle dit nimp) , je vous lance une vidéo de la Marseillaise.
Nan j’déconne. (ouf)Je vous rapporterai juste quelques clichés et raviverai la flamme de la légendaire fille aux yeux bleus et aux cheveux d’ébène, parce qu’en ce jour, entre 12h et 12h30, elle était là.
« Ah ouais ce vieux fantasme » comme dirait Marlrllrrlposssah.

(c’était le moment fantasmique du jour. heu, ma chérie, si tu passes par ici, sache que tu me manques ==^__^==)

Je kiffe grave les tambours. (et circuler partout pour travailler mon cadrage photo, y’a plein de détails rigolos à saisir)
Y’avait même des pauvres enfants qui se prenaient pour des chefs d’orchestre.

Quels poseurs ces joueurs de clairon!

Hey, Cornemuz était aussi de la patrie partie !




D’ailleurs, ils ont pas joué que la marseillaise, y’avait aussi l’hymne de Borat, et le public nous a épargné les paroles (vous savez: « Kazakstan est la plus grande nation dans le monde, les autres nations sont nulles à chier »).
Pi d’abord, je trouve que généralement une musique gagne beaucoup à être instrumentale.




Donc il y avait des Canadiens, l’armée, la fanfare des pompiers (je crois) de Dieppe, des touristes, une chaîne de télé, le Maire, le boss des forains, de la joie, et un soldat qui a assez de puissance pour rester dans la même posture (debout, avec un fusil posé sur son pied) pendant les 30 minutes de la cérémonie.
Pi une vieille dame qui a pris un coup de chaud (il faisait 28°), mais qui a été totu de suite prise en charge. Trop d’émotion peut être.







Un des anciens combattants (en fauteuil roulant), qui brillait de décorations militaires était interviewé par la seule chaîne télé en présence.
Il disait que c’était très dur de vivre avec ces souvenirs, mais qu’il fallait vraiment les commémorer pour qu’on se souvienne combien la paix est une chose précieuse.
Et il a bien raison.
Tout ceci me fait penser que quand on apprend l’Histoire à l’école, c’est surtout l’histoire de la guerre, au mépris d’autres parcours historiques de domaines qui travaillent à la paix.(l’histoire des sciences, les arts, les sports, ou encore des cours de cuisine, miam…)




Enfin, tant que chacun travaille à la paix dans sa propre demeure et avec les inconnus, mieux on conservera ce qui nous est précieux.
Tavu.

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